Recherche:Trilogie pour un monde juste et sain/Une crise de la gouvernance

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Sommaire

Dans une humanite en crise, la notion de gouvernance apparait tel un theme central de les societes.

« Notre notion de avis positive singles “gouvernance” designe les regles, les processus et les comportements qui influent dans l’exercice des pouvoirs [. ], particulierement du opinion de l’ouverture, en participation, de la responsabilite, de l’efficacite et de la coherence. » (Commission des Communautes Europeennes 2001, p. 9)

Aborder le theme de la gouvernance de facon generale, risquerait d’etre 1 exercice fastidieux. En termes de gestion des pouvoirs, chaque peuple, chaque culture, chaque nation, mais aussi chaque epoque, a en effet ses propres specificites. Mieux coi»te des au cours limiter l’observation et l’analyse a ce qui se marche dans un seul pays. Voici pourquoi on ne parlera ici que en situation belge jusqu’a la periode preelectorale de 2014. Le but de l’exercice sera dans un premier temps libre d’analyser la situation actuelle Afin de definir ensuite nos conditions propices a une agreable gouvernance citoyenne.

Dans l’ensemble des Nations, l’organisation du i?tre capable de se fait i  l’origine tout d’un post premier intitule Constitution. Et puis d’etre l’acte fondateur de la nation, ce texte a concernant fonction principale de garantir, d’une part, les droits de tout citoyen, ainsi, d’autre part le mode de distribution des pouvoirs dans la nation.

Comme premier principe d’excellente gouvernance apparait Le concept de separation des pouvoirs pense a l’epoque d’une Rome antique et theorise ensuite par Montesquieu et John Locke. Cette separation a concernant but d’eviter la concentration des pouvoirs aux mains des memes acteurs, bien en assurant un controle et une moderation reciproques entre ceux-ci. De l’ensemble des pouvoirs pouvant etre exerces au coeur de la nation, Montesquieu fera la distinction entre les pouvoirs temporel et spirituel. C’est ensuite au coeur du pouvoir temporel qu’il prona la separation entre le pouvoir legislatif, le i?tre capable de executif et le pouvoir judiciaire. Plus tard apparaitra l’idee tout d’un quatrieme i?tre capable de en reference au developpement d’une presse et autres medias de masse. A ces quatre pouvoirs, on peut i  nouveau ajouter le pouvoir economique quelquefois appele cinquieme i?tre capable de.

Notre pouvoir spirituel Modifier

En Belgique, la constitution garantit la liberte des cultes, le exercice public bien en interdisant la contrainte religieuse [3] . Dans ce pays, aucune religion d’Etat n’est reconnue et les questions religieuses sont traitees avec une certaine neutralite. Chaque annee, l’Etat belge accorde 1 budget concernant le financement [4] des six cultes reconnus et du secteur d’une laicite organisee. En 2007, c’est pres de 300 millions d’euros [5] qui furent distribues pour l’entretien du patrimoine et le paiement des salaires et pensions des ministres des cultes ainsi que celui des delegues des communautes philosophiques non confessionnelles reconnues par la loi. Pour cette aussi annee, 86,4% de ce montant pantalon attribue au culte catholique (Sagesser 2009, p. 96). L’observation des pratiques religieuses ainsi que l’importance attribuee par des belges a la religion chretienne laisse apparaitre un certain nombre de paradoxes.

Notre separation entre l’Eglise et l’Etat tant tout d’un opinion budgetaire qu’ideologique ne fera donc jamais l’objet d’une position claire au sein du peuple belge. Sans Afin de autant amener pouvoir religieux dans la nation, il y a cependant certaines formes de soutien et d’alliance autour de la fai§on d’heritage du passe. De facon comparable a la monarchie, le culte catholique, auquel adhere officiellement d’ailleurs la famille royale, garde donc au sein de la nation belge un certain pouvoir d’influence sans Afin de autant entrer en reelle competition au milieu des autres pouvoirs.

Le pouvoir legislatif Modifier

Le pouvoir legislatif est confie au Parlement qui en Belgique est compose de deux chambres : la chambre des representants et le Senat. Mes membres d’la Chambres des representants sont en direct elus par la nation tandis qu’environ un tiers du senat est compose d’individus cooptees. A i§a, vous devez ajouter les senateurs de droit que constituent les enfants du Roi ages de 18 annees, ou, a un defaut, les descendants belges une branche une famille royale appelee a regner [8] .

Le role du parlement, et donc du pouvoir legislatif, est de voter les lois, de gerer la tresorerie de l’Etat, ainsi, de controler l’action du i?tre capable de executif. Mais cela est vrai en theorie n’est pas toujours enfile en fonctionnel au cadre en Belgique.

Le communique comptables en deputee europeenne Veronique De Keyser « Jetee comme votre chien » [9] par son parti, prouve que J’ai tyrannie des partis reste d’actualite. Pour avoir des chances d’etre elus et donc de conserver leur activite remuneratrice, les membres du parlement doivent donc rester dociles a toutes les injonctions des partis et dissimuler leurs impuissances.

« On ne est en mesure de accepter que dans une democratie parlementaire, le Parlement, comme c’est la situation maintenant, soit cantonne a n’intervenir qu’en toute fin de course dans l’elaboration De surcroi®t de 90 % des lois, c’est-a-dire a 1 stade ou le propos est ficele et negocie et qu’il est devenu politiquement impossible de toucher a une seule de ses virgules. Car ce faisant, on transforme des membres du Parlement en simples presse-boutons. » (Monette et Laporte 2007, p. 111) « A l’evidence, le pouvoir d’initiative a quitte Afin de l’essentiel l’enceinte parlementaire et nos journalistes ne s’y trompent gui?re qui desertent des seances publiques. » (Eraly 2002, p. 170)

Les journalistes ne semblent pas les seuls a deserter les parlements. En 2009 des sanctions contre l’absenteisme parlementaire ont ete adoptees [10] Afin de reduire l’absenteisme des elus directs en nation.

Ainsi sanctionner l’absenteisme parlementaire apporte une reponse a toutes les consequences d’un probleme, sans resoudre le souci en soi.

« A l’origine de la democratie representative, l’electeur elit le representant mais celui-ci determine librement la politique une nation en fonction de l’interet general. Cela n’exprime jamais la volonte des electeurs mais il se decide par lui-meme et sous sa propre appreciation. Notre prohibition du mandat imperatif est la consequence necessaire du mandat representatif : l’elu n’exprimant pas la volonte des electeurs, ceux-ci ne peuvent gui?re le lier avec des instructions. [. ] Or c’est bien 1 mandat imperatif, mais du parti votre fois, que les parlementaires suivent ordinairement dans leurs votes, quels que soient leurs etats d’ame. [. ] dans le but de retablir l’idee originelle du mandat representatif, il faudrait reflechir au retablissement des votes secrets, surtout pour l’integralite des votes qui ne semblent pas des lois-programmes. » (Destexhe, Eraly et Gillet 2003, p. 121)

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